Stratégie digitale : pourquoi utiliser le Social Ads ?

Actualité publiée le 13 décembre 2022

Le Social Ads, c’est un nouvel outil de l’inbound marketing qui regroupe lui-même plusieurs instruments visant à améliorer l’audience et les résultats d’une entreprise en ligne. En quoi consiste-t-il et pourquoi est-il devenu nécessaire de l’utiliser ?

 

Social ads

 

Social Ads : le principe

 

Faire du Social Ads consiste pour une entreprise à améliorer sa stratégie d’inbound marketing. L’inbound marketing se fonde sur la qualité des contenus en vue de générer plus d’audience et de leads en ligne. Concrètement, il s’agit de proposer des contenus personnalisés et avec une véritable valeur d’intérêt pour son public cible. Le Social Ads vient booster l’efficacité de cette stratégie en proposant des outils de publicité PPC (Pay Per Click) ou de publicité via les réseaux sociaux.

 

Habituellement, le Social Ads s’articule autour d’une campagne marketing PPC (Pay per click). Les publicités sur les réseaux sont payantes et leur tarif calculé en fonction du nombre de clics qu’elles génèrent. Ou plutôt qu’elles ne génèrent pas, le principe est très facile : pas de clic sur la publicité, pas de frais qui s’appliquent.

 

Avantages du Social Ads

 

Le Social Ads permet donc de véritablement fédérer une communauté active autour de l’animation de ses réseaux sociaux. Avec le Social Ads, on apprend à utiliser de la manière la plus pertinente et optimisée qui soit le potentiel des plateformes sociales et des médias en ligne. L’accroissement de sa communauté digitale est, pour une entreprise qui souhaite se développer, un incontournable. Désormais, les consommateurs échangent, se renseignent et même achètent via les magasins des réseaux sociaux.

 

C’est une technique qui permet d’accéder à tous les avantages marketing du micro-ciblage. Selon ce procédé, les marketeurs utilisent les canaux digitaux comme Facebook Ads ou Goggle Ads afin de proposer des publicités parfaitement adaptées à une cible très précise (âge, sexe, profession, habitudes de consommation, etc.).

 

Le Social Ads permet également de proposer une offre ou un contenu premium (donc réservé à une partie seulement de la communauté d’abonnés des réseaux d’une entreprise). Il peut par ailleurs transmettre des informations capitales sur vos contenus dérivés, ce qui permet de toucher une audience plus large et variée.

 

Ces publicités payantes permettent un paramétrage ultra-facilité et très performant des campagnes marketing, basées sur le profil et les interactions sur les réseaux de chaque interface. Le principe du PPC est également très utile pour maîtriser à la perfection son budget publicitaire.

 

Comment faire du Social Ads ?

 

Utiliser le potentiel du Social Ads fait partie des missions des e-marketeurs. Pour mettre en place une campagne de publicité sur les réseaux sociaux. Ces professionnels suivent des méthodes spécifiques : identification de leur audience, définition d’un budget et tests de diverses versions de leur campagne.

 

Les tests sont essentiels dans le Social Ads, ils permettent de dégager de véritables indicateurs chiffrés et de réorienter les campagnes de communication afin de les rendre efficaces et pertinentes.

 

PPA DIGITAL offre à ce titre à ses étudiants en Marketing Digital et E-business de se former à la maitrise de tous les outils du Social Ads et à l’élaboration de campagnes innovantes. Dès la première année d’études, les étudiants découvrent le Social Ads et approfondissent leurs connaissances jusqu’à l’obtention de leur diplôme.

 

Les responsables webmarketing, communication digitale, les content managers ou encore les e-commerce managers doivent impérativement comprendre le Social Ads pour tirer parti des bénéfices de la méthode.

Communication digitale : comment optimiser une newsletter ?

Actualité publiée le 9 décembre 2022

De très nombreuses entreprises proposent à leurs clients, leurs prospects et leurs partenaires des newsletters hebdomadaires, mensuelles, voire même quotidiennes. Comment font-elles pour proposer un contenu attractif qui est véritablement lu ? Trois conseils de base pour optimiser vos newsletters.

 

Newsletter

Optimiser une newsletter : reprendre l’intégralité de votre stratégie

 

Une newsletter qui ne prend pas est souvent le symptôme d’une stratégie digitale peu ou mal optimisée. La newsletter, c’est un mail envoyé régulièrement à des clients fidèles ou des prospects désireux de connaître vos actualités. Elle doit donc être adaptée sur le fond et la forme à votre public cible.

 

Pour optimiser vos newsletters, vous pouvez reprendre la base de votre stratégie et améliorer votre méthode de recherche de destinataires. Par exemple, il est possible d’opter pour un CRM actualisé, de participer à des salons professionnels ou d’offrir à vos clients de s’inscrire en magasin ou sur votre site internet. En renouvelant vos sources de contacts à la base, vous obtiendrez de meilleurs résultats de lecture de votre newsletter : KPI reboostés, audience en croissance sur votre site, ventes qui reprennent, etc.

 

Enfin, revoyez votre stratégie et votre planning d’envoi. Il s’agit notamment du nombre de contenus dans une séquence et de la fréquence de réception des mails. Par exemple, préférez une stratégie qui s’articule autour de 5 bonnes newsletters, envoyée à des moments pertinents et en lien avec votre calendrier événementiel, plutôt qu’un mail hebdomadaire qui perdra rapidement de l’intérêt pour vos lecteurs.

 

Contenu, forme et apparence : optimiser le rendu de votre newsletter

 

Nous sommes susceptibles en tant que consommateurs, de recevoir une quantité colossale de newsletters. Une très large majorité n’est ni lue ni ouverte. Pour optimiser vos propositions, il faut rendre votre newsletter véritablement attractive.

 

La première chose à faire tient à l’élaboration même du contenu de votre mail, en misant tout sur le titre. Un intitulé choc, impactant, attractif et ludique a beaucoup plus de chances de conduire à l’ouverture d’un mail qu’un simple objet de courriel un peu plat et banal. Pensez également aux émoticônes, de plus en plus appréciées dans le sujet des newsletters.

 

Pour mieux optimiser votre newsletter, vous pouvez par exemple revoir le ton employé, peaufiner la profondeur du sujet ou mettre en avant des visuels plus valorisants. Naturellement, le contenu illustratif doit être en lien avec votre propos, mais il faut également qu’il soit unique.

 

Optimiser une newsletter, c’est savoir l’utiliser

 

Pensez à intégrer un lien à chaque élément qui constitue votre newsletter : un renvoi vers votre site sur le logo de votre entreprise (idéalement situé en en-tête du courrier), un lien dans la photographie d’illustration, qui renverra par exemple directement sur la page d’achat du produit, un autre vers un calendrier d’inscription à la soirée d’ouverture de votre boutique, etc. Proposez également des calls-to-action, mais sans en abuser et idéalement en fin de mail.

 

Pour vous assurer que votre newsletter vous est réellement utile, surveillez de près ses performances. Sachez que les professionnels de la communication digitale et du webmarketing considèrent qu’au-delà de 10 %, le support bénéfice d’un bon taux d’ouverture. Utilisez les reportings automatiques des logiciels professionnels, mettez en place des tableurs Excel ou des tableaux de bord que vous mettrez à jour quotidiennement, afin de constamment conserver un œil sur les ratios de vos mails.

 

Optimiser une newsletter fait partie des opérations quotidiennes des experts du webmarketing, du e-business et de la communication digitale. Ces professionnels suivent des cursus universitaires complets et professionnalisants à l’instar des formations online de PPA DIGITAL.

 

Optimiser une newsletter est une opération complexe, qui requiert de savoir analyser des données techniques et de croiser ces informations avec une compréhension fine des leviers de développement de la communication digitale.

 

Crédit photo – @unsplash @brett_jordan

Trouver une formation dans le webmarketing

Actualité publiée le 4 décembre 2022

Le webmarketing consiste en un regroupement de méthodes dernière génération permettant d’exploiter les potentialités du web afin de faire connaître son entreprise, ses valeurs et ses produits. Il concerne donc la communication digitale, la vente en ligne, l’emailing et les réseaux sociaux. Croiser marketing traditionnel et avancées technologiques est crucial pour faire du webmarketing : comment se former pour trouver un emploi dans le secteur ?

 

Formation online

Formation en webmarketing : privilégier une école reconnue

 

Il est très important de choir un établissement reconnu par l’état et les professionnels du webmarketing afin de suivre une formation permettant véritablement de trouver un débouché dans le secteur. En effet, le digital et les disciplines qui en découlent sont en pleine expansion et il en va de même de l’offre de formation, qui pullule.

 

Pour s’assurer de faire confiance au bon établissement, il est important d’observer certaines caractéristiques de fonctionnement. Par exemple, il est conseillé de choisir une école dont l’équipe pédagogique est composée de professionnels du webmarketing parallèlement en exercice dans leurs propres structures. C’est une garantie importante quant à leurs compétences et à l’actualisation constante du contenu de leurs cours.

 

Par là même, il est important de privilégier un établissement qui a recours à la modalité de l’alternance, ce qui indique qu’elle dispose des justes contacts dans le milieu du webmarketing et offre concrètement à ses étudiants une formation très ancrée dans la réalité économique du secteur.

 

Enfin, il faut que l’école ait mis sur pied des cursus complets et spécialisés, qui regroupent toutes les filières que concerne le webmarketing : community management, techniques SEO, relation client, prospection en ligne, publicités online, veille stratégique ou encore analyse technique des performances des campagnes.

 

Webmarketing : la formation idéale

 

Idéalement et afin de pouvoir véritablement travailler dans le secteur du webmarketing, il faut intégrer une formation universitaire supérieure immédiatement après l’obtention de son baccalauréat. Cela offre de véritablement se former sur le long terme, d’évoluer dans le webmarketing et d’acquérir toutes les méthodes et les outils de la filière.

 

Ainsi, une bonne formation en webmarketing doit constituer en un PGE, idéalement suivi au sein d’une école spécialisée. Un PGE, pour Programme Grande École, se compose d’un cycle de Bachelor et d’un autre de Mastère. Le bachelor offre de se constituer une base solide de compétences spécialisées, qui seront approfondies en mastère.

 

Même intégralement online, il est important que le cursus dispose d’un contenu d’apprentissage complet et spécialisé : outils de la communication 360, droit du numérique, UX Design ou encore gestion de projet et audits stratégiques en marketing digital. Naturellement, il est important que les étudiants puissent mettre ces nouvelles connaissances en pratique à l’occasion de stages en alternance, séminaires pratiques ou projets professionnels.

 

PPA DIGITAL a conscience des attentes des recruteurs du secteur du webmarketing et des besoins de formation des étudiants. Son programme online spécialisé en webmarketing dispose d’une excellence reconnaissance dans le milieu et offre à ses participants de véritablement travailler à l’issue de leur formation.

 

Le webmarketing, discipline en plein essor, doit être abordée grâce à une solide formation technique et professionnalisante.

Marketing mobile : comment devenir mobile marketer ?

Actualité publiée le 29 novembre 2022

Le marketing mobile est une branche du webmarketing qui répond à ses dynamiques et à ses propres tendances. Le mobile marketer en est l’expert, il travaille via des outils et des contenus très spécifiques : SMS, MMS, newsletters, posts sur les réseaux sociaux, applications sur téléphone, etc. Comment tout apprendre de cette nouvelle discipline et se former pour devenir mobile marketer ?

 

Mobile marketing

Devenir mobile marketer : choisir une nouvelle niche du e-marketing

 

Le marketing mobile est une discipline qui provient des nouvelles habitudes de consommation et de navigation en ligne, résolument tournées vers le e-commerce et la connexion à Internet via les smartphones.

 

Le mobile marketer est un professionnel de la communication digitale et du e-marketing qui a choisi de se spécialiser dans cette niche. Il connaît donc les divers outils de la discipline et les contenus en vogue sur le net mobile. Mais c’est surtout un fin analyste de son secteur, capable d’anticiper les tendances et de répondre en premier aux attentes inédites des internautes.

 

C’est lui qui détermine la stratégie de mobile marketing de son entreprise, il connaît donc tous les canaux du net, les applications mobile, l’utilisation courante du smartphone et sait imaginer du contenu sur mesure et unique.

 

Que doit savoir le mobile marketer ?

 

Le mobile marketer doit faire preuve de compétences de haut vol dans la communication digitale et le webmarketing dits classiques. À ce titre, il maîtrise les techniques de référencement sur le net, utilise les principaux langages informatiques, comprend le social ads et le brand management, l’influencing et l’inbound marketing.

 

Mais ce qui fait d’un expert du digital un véritable mobile marketer, c’est sa capacité à utiliser ces compétences et à les adapter à une navigation sur smartphone. Il élabore donc des stratégies qui tiennent compte des appareils de connexion dernière génération (téléphones, tablettes, TV connectées, etc.) et de leurs potentialités.

 

Il sait donc mettre sur pied des sites qui répondent aux codes du responsive design et produit des plateformes numériques qui s’adaptent automatiquement à une navigation mobile : taille de l’écran, temps de chargement (et donc poids des images), etc. Le mobile marketer sait également utiliser de manière véritablement optimisée les applications mobiles. Par exemple, il sait tirer parti des notifications push ou des services de géolocalisation. Il ne manquera d’ailleurs pas de positionner ses offres sur les systèmes de référencement local et utilisera les stratégies SEO mobile.

 

Opter pour la formation permettant de devenir mobile marketer

 

Une bonne formation pour devenir mobile marketer doit présenter une caractéristique double : elle doit permettre de se constituer un solide socle de connaissances en e-marketing et communication digitale, tout en offrant de nombreuses opportunités de se former en pratique.

 

C’est pour ces raisons que les étudiants qui souhaitent devenir mobile marketer privilégient des formations en alternance. Pour véritablement permettre de trouver un débouché l’issue de ses études, le cursus doit répondre à certaines exigences qualitatives :

– Il doit contenir des modules d’apprentissage en webmarketing, communication digitale, community management, etc.

– En présentiel ou à distance, il doit proposer une multitude d’occasions de mettre en pratique ses connaissances : stages en alternance, séminaires techniques, ateliers professionnels, etc.

– L’équipe pédagogique doit être composée de marketers professionnels, idéalement en poste dans leur propre structure.

– Il doit déboucher sur un titre diplômant reconnu par l’État et les recruteurs du secteur du marketing digital et du e-business.

 

Le Bachelor Marketing Digital de PPA DIGITAL permet de devenir mobile marketer en trois années d’études qui se déroulent selon le rythme de l’alternance. Il offre de rapidement trouver un emploi ou peut être poursuivi en cycle Mastère.

 

La spécialisation du secteur du webmarketing se poursuit et on voit des mobile marketers poursuivre leurs formations afin de devenir également expert dans l’email marketing par exemple.

 

Crédit photo @unsplash @paul_hanaoka

Comment devenir community manager ?

Actualité publiée le 24 novembre 2022

Le community manager est un responsable qui est chargé de définir les stratégies de publication des contenus sur le net. Via des posts sur les réseaux sociaux ou des articles de blog, il assure ainsi à son entreprise une bonne visibilité en ligne. Professionnel au cœur des stratégies de communication et de développement de son entreprise, comment se former pour devenir community manager ?

 

Community manager

Que faut-il étudier pour devenir community manager ?

 

Pour parvenir à remplir les missions de premier ordre du community manager, il faut faire preuve d’une vive connaissance du webmarketing et de la communication digitale. C’est un incontournable en vue d’anticiper les fluctuations du secteur, les tendances et les attentes des internautes. Le community manager sait donc produire au bon moment un contenu inédit (une vidéo plutôt d’un post, un podcast en collaboration avec un partenaire sur les réseaux plutôt qu’un post informatif classique, etc) et le positionner sur le juste canal de communication.

Fort de cette connaissance pratique, il sait comment animer ses réseaux en ligne afin de fédérer une véritable communauté d’adeptes qui suit ses actualités. Expert de l’effet viral du net, il peut recruter au quotidien de nouveaux prospects et éviter avec brio les bad buzz.

Toutes ces compétences découlent donc d’une analyse technique du net (dynamiques, contraintes, fonctionnement et potentialités). Pour parvenir à se constituer un tel socle opérationnel, le futur community manager a donc étudié l’e-marketing et la communication digitale. En maîtrisant les diverses disciplines du web, telles que le webmarketing, la communication digitale, le droit du numérique, le brand content management ou le social ads, le community manager se construit un profil complet et attractif aux yeux des recruteurs du secteur.

 

 

Devenir community manager : commencer rapidement

 

Le community management est une discipline qui suit les évolutions (fulgurantes) et les tendances du net. C’est un emploi dont la pratique évolue au quotidien : pour devenir community manager, il faut donc pratiquer rapidement.

En effet, rien ne vaut l’expérience et la formation pratique dans le secteur du web et du digital. À ce titre et pour devenir community manager, mieux vaut privilégier une formation courte, mais qui bénéficie de l’apprentissage en alternance. Par exemple, il est préconisé de suivre un Bachelor webmarketing et communication digitale au sein d’un établissement spécialisé.

Ce cycle comprend trois années d’études après le baccalauréat. Très technique et de haut niveau, il offre de se constituer un premier socle de connaissances fondamentales et de les compléter par des stages en alternances, propices à développer un profil pratique. Au sein d’un bon Bachelor en web marketing, on étudie donc le marketing digital et traditionnel, la communication sur les réseaux sociaux, les divers langages informatiques, les solutions du référencement en ligne ou encore le story telling.

Mettre rapidement en pratique ces nouvelles connaissances, c’est la clé pour devenir community manager. En effet, les entreprises apprécient les candidats qui démontrent à l’issue de leurs études d’une première expérience professionnelle. Elles sont également nombreuses à privilégier la promotion interne et il n’est pas rare que des stages d’alternance en communication digitale débouchent sur de véritables contrats de community management.

Naturellement, l’étudiant désireux de continuer ses études pourra, au sein d’un établissement spécialisé comme PPA DIGITAL, poursuivre son apprentissage en cycle de Mastère.

Devenir community manager, c’est choisir d’intégrer un poste à responsabilité qui permet d’obtenir une rémunération attractive : plus de 35 000 euros annuels pour un professionnel expérimenté.

Comment se préparer à un hackathon ?

Actualité publiée le 21 novembre 2022

Le hackathon est un concours de sprint où des équipes s’affrontent en développant de nouvelles idées afin de répondre à une problématique. En petits effectifs, elles disposent d’un temps limité et très court (maximum 24 heures) pour livrer des solutions innovantes. Très populaire dans le secteur informatique, le design et la conception digitale, comment bien s’y préparer ?

 

Hackathon

Le hackathon : bien se réparer pour relever le défi

Les événements « hackathon » sont très populaires et consistent en une véritable occasion de se faire connaître sur la scène de l’innovation. Les entreprises organisatrices, les structures participantes et les vainqueurs voient en effet leur notoriété exploser.

Les hackathons revêtent des enjeux colossaux pour les entreprises qui les organisent. En premier lieu, il s’agit d’une occasion incontournable pour obtenir un œil neuf sur une thématique. Ce sont des compétitions qui encouragent considérablement la créativité des équipes de l’entreprise organisatrice en proposant une expérience unique au sein d’une compétition saine entre les collaborateurs de la structure. Organisé en interne, un hackathon est également propice au team building, il consolide les liens professionnels entre les membres d’une équipe et favorise considérablement leur coopération.

Ces événements sont également un tremplin professionnel pour les jeunes experts de l’innovation et du digital : les entreprises qui organisent les hackathons sont susceptibles de repérer les nouveaux talents du digital à ces occasions. Déjà aujourd’hui, les hackathons sont considérés par les entreprises avant-gardistes comme de véritables occasions de recrutement. En effet, leur aspect collaboratif et très rapide correspond parfaitement aux manières de fonctionner des nouvelles générations Y et Z, hyperconnectées et qui préfèrent les rapports réflexifs horizontaux.

 

Comment bien se préparer à un hackathon pour le réussir ?

Les hackathons, puisqu’ils consistent en des événements très courts et très dynamiques, peuvent intimider plus d’un participant débutant ; c’est pour cette raison qu’il est conseillé de participer à de nombreux hackathons afin de bien s’entraîner en pratique.

Il faut également opter pour une thématique engageante et qui plaît afin de pouvoir bien préparer l’événement. Cette préparation requiert de s’équiper d’un matériel de pointe (ordinateurs portables, bonne connexion, salle dédiée, tableaux blancs, etc.). Et d’établir les règles de fonctionnement entre les équipes : gestionnaire du temps de parole, méthode de collaboration (agile, design studio, etc.). Il est également nécessaire de mettre sur pied une équipe éclectique et motivée, qui connaît les secteurs de l’innovation, du marketing et du digital.

Du point de vue des entreprises organisatrices, le hackathon est également une occasion de communiquer sur la structure. Il faut donc en assurer la promotion, à la fois pour attirer les participants et pour anticiper les techniques de vente des produits qui seront issus de l’événement. Il faut donc que les responsables webmarketing, les experts de la communication digitale et les chefs de projet web des organisateurs participent aux campagnes promotionnelles, voire à l’organisation de l’événement.

Pour se préparer à participer à un hackathon, il faut également se construire une solide culture du marketing digital, de l’innovation et du e-business, afin de trouver rapidement et efficacement des idées et de gagner la compétition. PPA DIGITAL propose à ce titre des cursus complets qui bénéficient de l’apprentissage en alternance et d’un enseignement très axé sur la pratique. Les étudiants des formations sont tout à fait en mesure de participer et de réussir un hackathon.

Compétition emblématique des ingénieurs de l’IT, le hackathon se démocratise et s’ouvre à tous les secteurs de l’économie qui cherchent des propositions innovantes pour résoudre leurs problèmes et s’assurer une bonne visibilité en ligne.

Que fait un responsable webmarketing ?

Actualité publiée le 14 novembre 2022

  

Comme son nom l’indique, le responsable webmarketing est un manager spécialisé dans les stratégies en ligne de sa structure (visibilité, vente, advertising, etc.). À l’aise avec les chiffres, excellent communiquant et expert du marketing, quelles sont précisément ses missions ?

 

Les missions du responsable webmarketing : visibilité, management et stratégie

 

La mission principale du responsable webmarketing, c’est de déterminer une stratégie et de choisir les outils permettant de développer la visibilité en ligne de son entreprise. Il cherche par là même à construire une bonne e-réputation, à augmenter les audiences du ou des sites internet de sa société (réseaux sociaux compris) et à développer les ventes de la structure.

 

En pratique, il détermine quels sont les points faibles dans la stratégie web marketing de son entreprise et cible les outils à mettre en place pour y remédier. Il utilise donc les techniques du e-marketing, comme les partenariats, les achats d’espaces publicitaires (et cible les meilleurs espaces pour les afficher), construit des séquences d’e-mailing ou améliore le référencement naturel du site (SEO et SEA). Il doit également connaître les méthodes de l’indexation et du développement des sites mobiles, afin de s’assurer que ses plateformes en ligne soient optimisées pour tous les appareils.

 

Au titre de ses missions, il est régulièrement amené à gérer les campagnes de référencement, à vérifier l’audience du site et à analyser les indicateurs de performance de ses campagnes.

 

Désormais, avec le développement de l’économie numérique, le responsable webmarketing travaille au sein de toutes les structures professionnelles. Il doit donc faire également preuve de compétences-métier de haut vol, afin de véritablement cerner les leviers et les contraintes du segment économique dans lequel s’inscrit sa structure.

 

Comment se former pour assurer les missions d’un responsable web marketing ?

 

Les responsables webmarketing sont d’excellents managers doublés de fins connaisseurs du digital. Ils sont capables de diagnostiquer les besoins de leur entreprise et de traduire les informations en leur possession en des orientations stratégiques viables susceptibles de considérablement développer les activités de cette dernière.

 

Pour atteindre ce niveau technique et assurer leurs missions clés, les responsables webmarketing ont donc suivi des formations professionnalisantes de haut niveau technique et académique. Ils connaissent l’influcence contest, savent utiliser les méthodes du Machine Learning et connaissent les bases des principaux langages informatiques. Au titre de leur formation, ils apprennent également les bases du métier de consultant et maîtrisent les techniques de la vente et du marketing automation, ce qui leur permet de conseiller la direction de leur entreprise.

 

Le Mastère Marketing Digital et E-Business de PPA DIGITAL comprend ces apprentissages incontournables. La formation va plus loin, en proposant de suivre le cursus en alternance sur les deux années du cycle. Les étudiants se construisent ainsi de solides compétences pratiques et peuvent, dès l’issue de leur parcours, exercer en tant que responsable webmarketing.

 

Un bon responsable web marketing assure également une mission de veille du secteur, afin de ne rien perdre de l’actualité du digital et de savoir se positionner au bon moment sur les justes innovations e-marketing.

Se réorienter dès le mois de janvier avec PPA DIGITAL !

Actualité publiée le 9 novembre 2022

Dans la plupart des grandes écoles, les rentrées se sont terminées il y a quelques mois. Néanmoins, il arrive souvent que les étudiants se rendent compte que le cursus qu’ils ont choisi ne leur correspond pas totalement. Pour éviter à ces étudiants de perdre une année, une nouvelle session de rentrée est possible en janvier à PPA DIGITAL pour se former aux métiers en plein essor du secteur !

A QUI S’ADRESSENT LES RENTRÉES DE JANVIER ?

 

PPA DIGITAL propose des rentrées en janvier en particulier pour les étudiants ayant pris une période de césure et voulant reprendre les études, mais aussi aux étudiants ayant démarré un cursus en septembre et qui se sont aperçus plus tard que celui-ci ne leur correspondait pas.

Nous partons du principe que chaque parcours est différent et que l’école doit s’adapter à chaque profil d’étudiant.

Les étudiants qui veulent changer de formation peuvent donc s’inscrire à PPA DIGITAL pour les rentrées de janvier, de la première à la quatrième année. Elles se déroulent comme les rentrées classiques et le rythme d’alternance ne change pas d’une rentrée à l’autre.

 

POUR LES BACHELOR MARKETING DIGITAL :

Première année : 1 jour à l’école / 4 jours en entreprise

Deuxième année : 1 jour à l’école / 4 jours en entreprise

Troisième année : 1 jour à l’école / 4 jours en entreprise

 

ET POUR LES MBA ONLINE MARKETING DIGITAL  & MASTERE MARKETING DIGITAL ET E-BUSINESS :

 

Quatrième année : 1 jour à l’école / 4 jours en entreprise + 6 semaines de séminaire dans l’année

Nous sommes conscients qu’il n’est pas évident de trouver sa voie du premier coup. Il est donc important pour nous de permettre aux étudiants voulant se réorienter de pouvoir le faire sans problème. C’est pour cela que PPA DIGITAL proposent ces rentrées décalées en janvier.

 

 

POURQUOI TRAVAILLER DANS LE MONDE DU DIGITAL ? 

 

Le digital est un secteur qui recrute

 

En 2020, 4 600 postes ont été créés et le secteur comptait 538 262 professionnels du digital dans ses rangs, pour un chiffre d’affaires de 56,3 milliards d’euros. Parmi les disciplines les plus en vogue actuellement, le métier de développeur informatique figure en tête des fonctions les plus recherchées par les recruteurs en 2021. D’après le rapport « Les métiers en 2030 » publié par France Stratégie et la DARES (Direction de l’animation et de la recherche, des études et des statistiques), 1 million de nouveaux postes devraient être créés dans le numérique d’ici la fin de la décennie. PPA DIGITAL possède un solide réseau de partenaires prêts à recruter nos étudiants en alternance !

 

Une ouverture pour tous les profils

 

Pour travailler dans le secteur du digital, certaines caractéristiques sont nécessaires pour pouvoir postuler à certaines offres telles que la polyvalence, l’adaptabilité, la réactivité, mais aussi la curiosité ou encore la créativité.

Selon le rapport The Future of Jobs publié par le Forum Économique Mondial en octobre 2020, voici le top 10 des soft skills à maîtriser pour travailler dans le digital d’ici 2025 :

  1. La pensée analytique et l’innovation,
  2. L’apprentissage actif et les stratégies d’apprentissage,
  3. La capacité à résoudre des problèmes complexes,
  4. L’esprit critique,
  5. La créativité, l’originalité et la prise d’initiative,
  6. Le leadership et l’influence sociale,
  7. L’utilisation, la surveillance et le contrôle de la technologie,
  8. La conception et la programmation technologique,
  9. La résilience, la tolérance au stress et la flexibilité,
  10. Le raisonnement, la résolution de problèmes et l’idéation,

 

Quelle formation pour devenir data scientist ?

Actualité publiée le 4 novembre 2022

Fin analyste et expert du marketing digital, le data scientist est un cadre clé dans le développement des entreprises contemporaines. Il est capable de décrypter les informations en la possession de sa structure pour déterminer des orientations stratégiques viables et propices à son essor économique. Quelle formation suivre pour être certain d’exercer comme data scientist ?

Data scientist : une formation supérieure

 

Le Data scientist est un ingénieur informatique capable de traiter les données du Big Data pour en dégager des informations compréhensibles par les directions des entreprises. C’est un expert technologique doublé d’un fin connaisseur de l’économie de son secteur d’activité, et qui fait preuve de compétences métier hors norme. En effet, ses analyses des informations détenues par les entreprises doivent permettre de dresser des prédictions à propos des grandes tendances de l’économie. Il contribue donc grandement à développer la rentabilité et à améliorer le fonctionnement d’une structure.

 

Il s’agit également d’un cadre qui doit endosser de grandes responsabilités et à ce titre justifier d’une formation équivalente à un bac +5. Ce cursus doit lui apporter les bases de l’analyse informatique et qu’il lui permette de construire de solides compétences en analyse stratégique du digital. Il lui faut aussi maîtriser le marketing digital et le e-business afin de pouvoir devenir un véritable manager de la data science.

 

 

MBA ou Mastère : quelle formation pour le data scientist ?

 

Avant de penser à intégrer un MBA ou un Mastère (qui consiste en des cycles d’apprentissage de niveau supérieurs et spécialisés dans une filière), l’étudiant désireux de devenir data scientist doit commencer son parcours en intégrant une école spécialisée dans le Digital. Idéalement, il suivra donc un Bachelor, qui est un premier socle d’apprentissages fondamentaux lui permettant de découvrir et de manipuler les instruments et les méthodes d’analyse du Big Data et du Digital dans son ensemble.

 

Il lui est ensuite de conseiller de s’orienter vers un cursus spécialisé, comme un Mastère ou un MBA. Les MBA, généralement, sont suivis après un mastère, car ils offrent de construire des compétences professionnelles ultra-ciblées.

 

Un bon mastère pour devenir data scientist doit comprendre des apprentissages très techniques et de haut niveau. Il doit en effet permettre à l’étudiant de pouvoir cibler les problématiques liées aux évolutions du e-marketing et de l’analyse de données, afin de moduler des orientations stratégies véritablement adaptées à sa structure. La formation doit également comporter des éléments de la smart data, qui permettent aux étudiants de connaître les points générateurs de valeur pour les entreprises contemporaines et, par la suite, de véritablement pouvoir intégrer le marché du travail en faisant preuve de compétences très actualisées.

 

PPA DIGITAL prend en considération les besoins des professionnels du secteur et propose un Mastère Marketing Digital et E-Business qui permet de devenir data scientist. Afin de véritablement garantir à ses étudiants une insertion professionnelle réussie, le programme peut se suivre selon la modalité de l’alternance.

 

Le data scientist, c’est également un manager, qui doit savoir diagnostiquer les faiblesses de sa structure et opter pour les solutions afin d’y remédier tout en encadrant une équipe d’experts de l’informatique et du digital.

Comprendre le droit du numérique

Actualité publiée le 31 octobre 2022

Parallèlement au développement de la société numérisée, on assiste à la naissance du droit du numérique. Porté par l’UE et les gouvernements des États membres, quels en sont les principes de base ?

Pourquoi a-t-on besoin de mettre en place le droit du numérique ?

 

La très grande accessibilité voulue par les services du web a longtemps été conçue comme corollaire de la liberté de l’Internet. Or, des dérives ont commencé à apparaître, tant de la part des industriels du net que des utilisateurs. Très rapidement, est apparue une situation paradoxale : les internautes étaient libres de certaines choses dans l’espace digital et non dans la vraie vie. Puis, avec l’essor des activités en ligne, le développement des réseaux sociaux et la création du multivers, les questionnements identitaires entre les avatars et les utilisateurs ont émergé, suivis de près de thématiques éthiques et responsables dans l’utilisation du web. Les monopoles économiques ont aggravé la situation, les consommateurs étant peu protégés au regard des activités en ligne des géants du net.

 

Les pouvoirs publics ainsi que les experts du droit ont souhaité régir, en posant juridiquement le principe que ce qui est illégal dans le monde réel doit également l’être en ligne. L’objectif est donc de mettre en place un cadre juridique permettant de régir les problèmes liés à l’émergence de cette nouvelle société digitalisée. Proche du droit « physique », le droit du numérique comprend diverses facettes juridiques  : protection de la vie privée et de la propriété intellectuelle, interdiction de la diffamation, régulation des monopoles économiques,  interdiction de certaines activités illicites, etc.

 

L’Europe, garante du droit du numérique

 

C’est tour d’abord l’Europe qui s’est emparée de la question de l’instauration du droit du numérique. Elle a présenté en janvier dernier une déclaration sur les droits et principes du numérique, qui vise à garantir aux particuliers des droits fondamentaux digitaux. Le texte a pour objectif d’améliorer la vie des Européens grâce à la transformation numérique et s’engage à : mettre au centre de la digitalisation les utilisateurs, garantir la sécurité de leurs données sensibles, assurer un environnement sain et licite, adopter des processus responsables, garantir la protection des droits du consommateur et rester respectueux de l’environnement dans la mise en place de la société du numérique.

 

L’institution est allée plus loin dans la construction du droit du numérique, en promulguant le DSA (le règlement européen sur les services numériques) et le DMA (le règlement sur le marché numérique), fin 2020. Les objectifs sont ici de véritablement fonder dans les textes que ce qui est illégal hors ligne l’est également sur Internet. Les règlements visent ainsi à aider les petites entreprises de l’UE à se développer en ligne et renforcent la surveillance des grandes plateformes afin de garantir un espace économique sain et de protéger les droits des internautes (en ce sens, elle rejoint les grands principes fondamentaux du droit du numérique précités).

 

Le droit du numérique : une mise en pratique nationale

 

L’Europe fournit ainsi aux États membres des orientations afin que chacun demeure libre du respect du droit du numérique et de sa mise en pratique. On voit les juristes se spécialiser et les professionnels du digital suivre des formations afin de s’aligner sur les nouvelles réglementations.

 

À ce titre, pour véritablement tout comprendre du droit du numérique, il faut se former au sein d’une école spécialisée dans le Digital. PPA DIGITAL propose en effet à ses étudiants des parcours de haut niveau académique et technique dont le contenu d’apprentissage est constamment réactualisé, au regard des dynamiques du secteur et du nouveau cadre légal.

 

Le droit du numérique vient de faire son apparition et il évolue très rapidement, au même titre que le digital, le e-marketing et le e-business. Les professionnels doivent donc impérativement effectuer une veille constante des évolutions juridiques en la matière et ne pas hésiter à se former pour y parvenir.

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