La révolution du numérique s’est propagée avec une rapidité fulgurante, touchant la moitié de la population mondiale en une vingtaine d’années. Cette expansion colossale a eu des impacts profonds sur les sociétés modernes, l’industrie et l’économie internationales qu’elle a littéralement bouleversées.

L’impact de la révolution numérique sur la société

Le numérique contribue à promouvoir l’égalité : la révolution digitale améliore la connectivité, rendant plus accessibles les plateformes commerciales et la version digitale des services publics. Les usagers du monde entier ont alors accès aux mêmes services quel que soit l’endroit où ils vivent.

La révolution numérique permet également de développer l’apprentissage dans des secteurs piliers de la société : la santé, l’accompagnement à la personne et l’éducation, notamment. En faisant appel à l’Intelligence Artificielle, on peut désormais mieux anticiper l’apparition de maladies graves (et sauver plus de vies). Les chirurgiens peuvent également s’entraîner sur des logiciels de pointe, développant considérablement leur minutie et leurs compétences. Il en va de même des potentialités de la formation à distance, qui viennent lisser les inégalités sociales en matière d’études supérieures.

Le numérique : une révolution pour l’emploi

Le marché de l’emploi, en stagnation jusqu’à présent, retrouve un second souffle avec l’apparition de nouveaux métiers engendrés par la révolution du numérique. Les modes de travail traditionnels sont désormais quasi obsolètes : même les emplois classiques se sont digitalisés. L’OIT (L’Organisation internationale du travail) considère que le numérique est un puissant outil pour un passage serein à une économie plus verte, qui pourrait créer près de 24 millions d’emplois supplémentaires dans le monde à l’horizon 2030.

Naturellement, la révolution du numérique et la disparition d’un certain nombre d’emplois inquiètent (et souvent à juste titre). La solution se trouve dans la formation professionnelle. Les entreprises comme les pouvoirs publics se doivent d’accompagner les salariés dans un cursus tout au long de la vie, qui privilégie l’actualisation des compétences au regard des avancées numériques.

Numérique et intimité : une révolution de la donnée

Jusque très récemment le traitement des données des internautes était utilisé à des fins marketing et/ou afin de développer les nouvelles technologies. Analyse des problèmes, suivi d’opérations techniques dans l’agriculture ou l’environnement ou paiement des factures étaient les principales raisons d’user des données personnelles.

Malheureusement, la révolution numérique a aussi permis le développement de pratiques frauduleuses en ligne, du piratage informatique et des cybermenaces en tout genre. Naturellement, la réglementation qui encadre la protection des données prend le pas et se développe considérablement, afin de rendre le numérique plus sûr et de tirer le meilleur parti de cette révolution.

Avec PPA DIGITAL, les étudiants bénéficient de tous les outils scientifiques, académiques et techniques afin de bien appréhender la révolution du numérique, ses enjeux et ses potentiels leviers de développement. Ils acquièrent une véritable compétence métier par le biais de stages en alternance et trouvent ainsi très rapidement un emploi à l’issue de leur formation.

La révolution du numérique touche à tous les secteurs de l’économie, de l’industrie et de la société. Même les médias sont impactés par le digital, en témoigne le colossal essor des réseaux sociaux et le développement récent du Multivers.

L’expérience client est indissociable des outils numériques et du recours au digital. Les stratégies marketing en ligne des entreprises permettent d’optimiser la satisfaction de leur client et de développer considérablement leurs activités. Comment, alors, usent-elles du digital comme moyen de développer leurs stratégies clientèle ?

Digital et expérience client  : multiplier ses points de contact

Développer une stratégie tentaculaire, visant à multiplier les points de contact avec les clients est un excellent moyen de développer son expérience client dans le digital. Les entreprises le savent et se positionnent sur toutes les interfaces possibles : sites internet, blogs, réseaux sociaux, etc.

Le premier mode de contact qu’ont désormais les consommateurs avec leurs marques favorites, c’est via les canaux digitaux, l’utilisation du téléphone mobile en tête. Toute question est posée sur les réseaux sociaux, qu’il s’agisse d’une contribution sous forme d’avis / Commentaire ou d’une question directement posée au service client de la marque. L’expérience sur mobile est donc un point crucial à ne pas négliger pour optimiser son expérience client.

Parcours digital : l’optimisation de l’expérience client

Les entreprises doivent donc revoir l’intégralité de leur parcours client à la lumière d’une optimisation digitale : surf depuis les mobiles ou les tablettes, intuitivité du site internet, basculement facilité sur les réseaux sociaux et veille constante afin d’être actif sur les plateformes et de pouvoir répondre rapidement aux consommateurs (c’est le cas des chat bots, aux réponses instantanées rendues possibles par le recours à l’IA).

À titre d’exemple, les sociétés développent considérablement leurs interfaces d’assistance en ligne, car les consommateurs privilégient ce moyen de résolution de leurs problèmes à un appel téléphonique, désormais réservé à une très petite part de la population.

Les entreprises analysent donc les comportements de leur cœur de cible et cherchent à comprendre le parcours utilisateur et consommateur de leurs clients. En premier lieu, les équipes marketing dressent des personaes, des grands groupes de consommateurs définis par leur comportement, leurs attentes et leurs préférences.

Pour chaque groupe ainsi défini, elles tirent des études analytiques du parcours digital. Par exemple, les Millennials se renseignent majoritairement via leur mobile et sur les réseaux sociaux avant d’acheter un article. Une firme qui souhaite venir à l’encontre de ce public développera ses propositions d’interactions sur les plateformes sociales par le biais du community management ou en formant ses agents de contact.

Centraliser et affiner : la clé de l’expérience client digitale

Les entreprises utilisent désormais toutes des logiciels CRM (customer relashionship management), capables d’organiser dans une plateforme unique toutes les données à propos de l’expérience client nécessaires à tous les services d’une entreprise. Les tâches d’analyse du parcours client sont ainsi facilement automatisées et le recours parallèle à la Business Intelligence permet d’autant mieux connaître les grands profils de consommateurs.

Les techniques du CXM (Customer experience management) sont scrupuleusement enseignées au sein des parcours premium de PPA DIGITAL, en raison de leurs enjeux considérables pour le bon développement des activités en ligne des sociétés. Les étudiants de l’établissement bénéficient en parallèle de nombreux stages en alternance, qui leur offrent de véritablement se construire une compétence métier, propice à une bonne insertion professionnelle par la suite.

L’optimisation de l’expérience client digitale est un puissant facteur de fidélisation et de conversion de sa clientèle sur le web.

L’expérience client est indissociable des outils numériques et du recours au digital. Les stratégies marketing en ligne des entreprises permettent d’optimiser la satisfaction de leur client et de développer considérablement leurs activités. Comment, alors, usent-elles du digital comme moyen de développer leurs stratégies clientèle ?

Digital et expérience client  : multiplier ses points de contact

Développer une stratégie tentaculaire, visant à multiplier les points de contact avec les clients est un excellent moyen de développer son expérience client dans le digital. Les entreprises le savent et se positionnent sur toutes les interfaces possibles : sites internet, blogs, réseaux sociaux, etc.

Le premier mode de contact qu’ont désormais les consommateurs avec leurs marques favorites, c’est via les canaux digitaux, l’utilisation du téléphone mobile en tête. Toute question est posée sur les réseaux sociaux, qu’il s’agisse d’une contribution sous forme d’avis / Commentaire ou d’une question directement posée au service client de la marque. L’expérience sur mobile est donc un point crucial à ne pas négliger pour optimiser son expérience client.

Parcours digital : l’optimisation de l’expérience client

Les entreprises doivent donc revoir l’intégralité de leur parcours client à la lumière d’une optimisation digitale : surf depuis les mobiles ou les tablettes, intuitivité du site internet, basculement facilité sur les réseaux sociaux et veille constante afin d’être actif sur les plateformes et de pouvoir répondre rapidement aux consommateurs (c’est le cas des chat bots, aux réponses instantanées rendues possibles par le recours à l’IA).

À titre d’exemple, les sociétés développent considérablement leurs interfaces d’assistance en ligne, car les consommateurs privilégient ce moyen de résolution de leurs problèmes à un appel téléphonique, désormais réservé à une très petite part de la population.

Les entreprises analysent donc les comportements de leur cœur de cible et cherchent à comprendre le parcours utilisateur et consommateur de leurs clients. En premier lieu, les équipes marketing dressent des personaes, des grands groupes de consommateurs définis par leur comportement, leurs attentes et leurs préférences.

Pour chaque groupe ainsi défini, elles tirent des études analytiques du parcours digital. Par exemple, les Millennials se renseignent majoritairement via leur mobile et sur les réseaux sociaux avant d’acheter un article. Une firme qui souhaite venir à l’encontre de ce public développera ses propositions d’interactions sur les plateformes sociales par le biais du community management ou en formant ses agents de contact.

Centraliser et affiner : la clé de l’expérience client digitale

Les entreprises utilisent désormais toutes des logiciels CRM (customer relashionship management), capables d’organiser dans une plateforme unique toutes les données à propos de l’expérience client nécessaires à tous les services d’une entreprise. Les tâches d’analyse du parcours client sont ainsi facilement automatisées et le recours parallèle à la Business Intelligence permet d’autant mieux connaître les grands profils de consommateurs.

Les techniques du CXM (Customer experience management) sont scrupuleusement enseignées au sein des parcours premium de PPA Digital, en raison de leurs enjeux considérables pour le bon développement des activités en ligne des sociétés. Les étudiants de l’établissement bénéficient en parallèle de nombreux stages en alternance, qui leur offrent de véritablement se construire une compétence métier, propice à une bonne insertion professionnelle par la suite.

L’optimisation de l’expérience client digitale est un puissant facteur de fidélisation et de conversion de sa clientèle sur le web.

Une campagne marketing à 360°, c’est une toute nouvelle approche qui associe tous les éléments de communication d’une marque. Le message à développer par l’entreprise est ainsi mis en cohérence sur tous ses canaux de communication et modulé en fonction des besoins de chaque canal de diffusion.

Campagne marketing 360° : le concept

Le principe d’une campagne 360° est de développer des propositions marketing dans toutes les directions. Le concept est alors d’aller toucher les clients et les prospects là où ils se trouvent en utilisant leurs canaux de communication préférés (réseaux sociaux, post télévisé, podcasts, etc.).

Ce type de campagne vise à accroître la notoriété d’une société. Les clients et les prospects ont alors accès à de nombreuses options pour contacter la marque, être au fait de son actualité et connaître ses promotions.

Notons qu’en 2022, le marketing 360° se veut plus interactif, inclusif et vecteur d’expériences digitales personnalisées. Ce sont donc des campagnes qui requièrent un travail en amont en off-line cohérent avec les productions online développées par les services de communication des entreprises.

Quels sont les prérequis d’une campagne marketing 360° ?

Pour pouvoir baser sa stratégie de communication sur tous les canaux de diffusion pertinents pour une entreprise, il faut être en mesure d’identifier ces moyens de transmission du message de la marque.

Pour sélectionner les canaux de communication, il faut bien connaître son public cible. Les marketeurs d’aujourd’hui définissent donc des personaes marketing : des grandes catégories de clients définis selon leurs profils de consommation, leurs préférences, leurs habitudes, etc.

Naturellement, une campagne de marketing 360° bien construite se base également sur des objectifs précis à poursuivre. Généralement, les directeurs marketing ont le choix entre trois options :

– L’awareness : l’objectif de la campagne est de mieux faire connaître la marque et de développer sa notoriété (notamment en ligne).

– Le lead generation : les techniques du marketing 360° viennent aider l’entreprise à trouver des prospects et à améliorer son taux de conversion.

– La fidélisation, dans ce cas de figure le marketing 360° permet d’entretenir ses relations avec son public.

Marketing 360° : des exemples de supports de campagne

Les entreprises qui pratiquent le marketing 360° ont recours à de nombreux supports de promotion, comme :

– Les newsletters, idéales pour poursuivre un objectif de fidélisation.

– Le blogging.

– La publicité online, vectrice de lead generation.

– Le street marketing et autres opérations événementielles promotionnelles.

– Le social media, qui développe l’awareness et le lead generation.

– La télévision, la radio, la presse et les autres médias traditionnels.

Avec PPA Digital, les futurs directeurs marketing des grandes multinationales apprennent tout des techniques du marketing 360°. Ils savent utiliser les nouveaux formats digitaux au même titre que les médias plus classiques.

Les campagnes marketing 360° se définissent par leur réseau tentaculaire de canaux de diffusion. Elles supposent aussi de bien maîtriser les concepts d’inbound et d’outbound marketing et c’est pour cette raison que seuls les experts sont en mesure de les mettre efficacement en place.

Le marketing automation regroupe plusieurs outils permettant d’automatiser des tâches répétitives en vue de suivre des scénarios marketing plus performants. Il peut s’agir de suite d’e-mails personnalisés, de lead scoring ou encore de méthodes de tracking. Devenus incontournables dans le web marketing, quels outils d’automation choisir ?

Marketing automation : top 5 des outils sur le marché

– HubSpot est incontournable pour créer des listes d’outils de marketing automation. Le produit intègre un logiciel très complet d’Inbound Marketing qui offre l’accès à une base de données de qualité propice à augmenter le trafic sur toutes les plages web d’une entreprise.

– LeadSquared est très utilisé par les petites et moyennes entreprises. Il offre un panel très complet de fonctionnalités : création de workflow, de landing pages ou traceur des leads sur le site web. Il peut être lié à Salesforce ou aux plus grands CMS du marché.

– Plezi est un outil de marketing automation créé par des Français. Il offre d’acquérir plus de leads grâce à une gestion plus intelligence de la diffusion des contenus. Il offre de créer des listes personnalisées, de faciliter les publications sur les réseaux ou d’analyser le contenu de vos canaux de communication.

– Hootsuite, c’est l’outil incontournable de l’automation sur les réseaux sociaux. Très utile pour développer de bonnes stratégies sur Facebook, Instagram ou Twitter, il présente une très grande facilité d’utilisation. Les posts peuvent être créés en avance et leur parution programmée avec une option d’amélioration par le robot, afin d’éviter la redondance dans les contenus.

– Zapier est un outil assimilation à un connecteur d’application d’automation marketing. Il permet d’améliorer sa gestion de plusieurs logiciels, comme Gmail, WordPress ou Mailchimp, par exemple. L’outil fonctionne sur le modèle d’une plateforme unique : s’il est nécessaire d’ajouter un contact au logiciel, il suffit de le faire une seule fois sur Zappier, qui se chargera d’effectuer l’ajout sur toutes les applications intégrées au logiciel.

Pourquoi maîtriser les outils du marketing automation ?

Choisir les bons outils de marketing automation représente pour les professionnels un gain colossal de temps et donc un accroissement de la performance de leurs stratégies. En effet, en automatisant certaines opérations de leurs opérations marketing, les web marketeurs peuvent gagner un temps précieux et ainsi mieux penser leurs positionnements.

Pour parvenir à sélectionner le ou les outils les plus propices à les accompagner dans leurs tâches professionnelles, les marketeurs du net doivent en premier lieu définir leurs besoins d’automatisation (qui varient en fonction des individus et des projets). En identifiant précisément leurs priorités, les professionnels sont en mesure de repérer les fonctionnalités indispensables de leurs outils de travail.

Cependant et en règle générale, il faut être attentif à :

– L’intégration de l’outil sur le CRM de l’entreprise ou à d’autres logiciels de web marketing.

– Les options d’accompagnement et de prise en main.

– L’adaptabilité des outils au marché de l’entreprise. (les professionnels B2C, B2B, ou e-commerce n’ont pas les mêmes besoins en raison de la diversité structurelle de leurs activités).

– Le respect du RGPD et de la législation du web.

Avec PPA Digital, les étudiants de ses cursus spécialisés peuvent essayer divers outils de marketing automation au sein même des meilleures agences du secteur, à l’occasion de stages en alternance.

Il est tout à fait envisageable de contacter le service client des éditeurs de logiciel de marketing automation afin de leur demander une démo gratuite d’un ou plusieurs mois

Essentiel à l’établissement d’une bonne image de marque et d’une e-réputation positive, le marketing digital joue un rôle essentiel dans l’acquisition d’une audience en ligne. Vaste et transdisciplinaire, c’est un domaine qui regroupe une multitude de filières spécialisées et à ce titre, qui voit de nouveaux métiers émerger quotidiennement, en vue de répondre aux attentes des internautes et des professionnels. Zoom sur trois nouveaux métiers du marketing digital.

Comment expliquer l’émergence de nouveaux métiers dans le marketing digital ?

Le marketing digital couvre l’intégralité des interactions des internautes avec les marques sur Internet. Il est donc présent sur toutes les plateformes en ligne et dans tous les secteurs de l’économie et de l’industrie. Il vise à proposer aux internautes une expérience unique et optimisée, à capter leur attention et à leur fournir des contenus de qualité.

À ce titre, il s’adapte aux besoins et aux fluctuations du web, secteur en plein boom qui évolue au quotidien. Il comporte donc une multitude de métiers différents, comme :

– Le content manager.

– L’expert social media ou le community manager.

– Le responsable SEO/ SEA.

– L’UX Designer, etc

Ce qui explique l’émergence de nouveaux métiers, c’est la croissante technicité du monde du web. En effet, face à la montée en puissance des nouvelles technologies, chaque corps de métier qui compose le marketing digital se spécialise. Dans la formation comme la pratique professionnelle, il devient nécessaire de s’expertiser afin de maîtriser pleinement les outils logiciels d’une filière, les attentes des clients ou encore d’anticiper les futures mutations d’une filière.

Marketing digital : les nouveaux métiers à ne pas louper

Les étudiants désireux de faire carrière dans le marketing digital ont intérêt à s’orienter vers l’un des nouveaux métiers émergeants du secteur.

– L’analyste de données. De nos jours, les stratégies de marketing digital se basent sur le traitement des informations en la possession des entreprises. Les analystes de données spécialisés dans le marketing sont en mesure de définir des persona marketing, des profils de consommateurs extraits des informations récoltées par leur société.

– Le growth hacker, qui est un métier qui requiert de maîtriser le marketing et le développement. Il utilise tous les leviers potentiels de croissance de son entreprise en vue de toucher une audience plus large en prospectant en ligne des clients.

– SEO / SEA Director. Cet expert du net est en charge du bon référencement des plateformes de la structure pour laquelle il travaille. Le fonctionnement des algorithmes de recherche et des tendances du web n’ont aucun secret pour lui. Il est tout à fait capable d’utiliser tous les outils logiciels du domaine afin de faire croître les systèmes d’information de sa structure.

PPA Digital, conscient des nouveaux besoins des professionnels du secteur, intègre dans ses modules d’apprentissage des éléments offrant à ses étudiants de s’intégrer à tous les métiers du domaine.

Les métiers du marketing digital évoluent tous les jours, c’est pour cette raison que les professionnels du domaine effectuent de consciencieuses veilles du secteur et se forment régulièrement.

Références indispensables en web marketing et communication digitale, les certifications Google ont une valeur professionnelle importante. Elles attestent de la maîtrise des derniers outils de l’analyse web et offrent d’accroître l’intérêt de son profil collaborateur. Comment passer sa certification Google ?

Google : plusieurs certifications professionnelles

Les certifications professionnelles mises en place par Google offrent aux professionnels de prouver leur expertise de la publicité et du marketing en ligne. Elles peuvent aussi déboucher sur le statut de Google Partner, qui représente pour une entreprise un puissant levier de développement.

La certification regroupe en réalité plusieurs validations de la maîtrise des outils Google. Les principaux sont  Adwords et Analytics.

Google Adword est une plateforme offrant de gérer les campagnes publicitaires d’achat de mots-clés sur le net. C’est la certification incontournable des agences de web marketing qui offrent un service de SEA et sa validité est de 12 mois. Pour l’obtenir, le candidat doit réussir deux examens sur six. Le test prend la forme d’un QCM limité dans le temps et porte sur plusieurs points :

– Adword, les bases.

– La publicité sur le réseau de recherche Google.

– La publicité sur le réseau Display.

– La publicité sur mobile.

– La publicité vidéo.

– La publicité via Google Shopping.

La certification Google Analytics, ou GAIQ (pour Google Analytics Individual Qualification) porte sur 70 questions, auxquelles le candidat doit répondre en 90 minutes maximum. Si le test concerne les concepts fondamentaux de la plateforme, il requiert tout de même de maîtriser les bases de l’HTML, JavaScript ou de l’utilisation des cookies pour obtenir les 80 % requis pour réussir.

Notez que pour ceux qui le souhaitent, il est possible de passer d’autres certifications Google, qui contribuent aux bonnes pratiques dans la création, la gestion, l’optimisation et la monétisation des contenus sur les réseaux sociaux comme YouTube. Dernière-née, la certification Google Mobile Web Specialist s’adresse aux développeurs web sur mobiles.

Comment se former pour passer sa certification Google ?

La première étape en vue de réussir sa certification Google, c’est de se former aux techniques professionnelles du web. L’idéal est d’intégrer une formation post-bac en alternance auprès d’un établissement spécialisé. En effet, l’autre élément déterminant dans l’obtention de son certificat Google, c’est l’entraînement et la pratique.

Ces certifications consistent en des accréditations attestant que Google considère les détenteurs comme spécialistes de la publicité en ligne. En pratique, elles sont disponibles sur la page Certifications Google Ads de Skillshop. Elles présentent un certain coût, qui peut être acquitté par le candidat directement ou qui est parfois intégré aux frais de formation des organismes.

PPA Digital intègre des modules de formation aux certifications Google à ses cursus. Grâce à la pédagogie axée sur la pratique et l’alternance, les étudiants s’entraînent régulièrement à la maîtrise des outils et obtiennent leur certificat.

Les certifications Google se renouvellent annuellement ou bi-annuellement et offrent un fonctionnement flexible « à la carte ». Pour les obtenir avec succès, les professionnels du marketing digital effectuent de consciencieuses veilles du secteur et n’hésitent pas à suivre des modules de formation professionnelle.

L’objectif principal du responsable webmarketing est de mettre en place des opérations visant à accroître la visibilité en ligne de son entreprise ou de ses clients afin d’en développer les ventes. Zoom sur les missions pratiques de cet expert de la Toile.

En quoi consiste la mission stratégique du responsable webmarketing ?

Afin de rendre son entreprise mieux visible et active sur la Toile, le responsable webmarketing doit mettre en place des actions pratiques.

Pour déterminer quelles activités seront les mieux à même d’accroître les performances de sa structure, il doit en premier lieu définir des objectifs à atteindre. Toutes ses opérations de web marketing seront orientées vers ces buts stratégiques. Ses opérations, en plus de viser à l’accomplissement d’objectifs spécifiques, sont guidées par des nécessités budgétaires. Le responsable webmarketing doit donc développer des tactiques viables sur le plan financier et qui bénéficient d’un bon retour sur investissement afin de rendre son entreprise plus compétitrice.

Ainsi, il débute ses projets en effectuant une étude du marché sur lequel il s’inscrit et des activités de la concurrence. Il élabore ensuite des plans de contenus digitaux en mesure de répondre aux attentes de son entreprise ou de ses clients. Généralement, ces opérations consistent en la signature de nouveaux partenariats, l’acquisition d’espaces publicitaires cohérents avec son public cible, des campagnes d’emailing, l’optimisation du référencement naturel de ses plateformes, etc.

À la fin de chaque campagne ou à la clôture d’un projet, le responsable marketing est chargé d’effectuer un bilan des activités de ses équipes. En analysant leurs opérations, il est en mesure de tirer des prédictions et des orientations stratégiques pour le futur.

La mission de manager du responsable webmarketing

La fonction de responsable webmarketing consiste en un poste à haut niveau de responsabilité. Généralement, cet expert du e-business gère une équipe dédiée à la poursuite de ses objectifs stratégiques.

Il met donc ses compétences analytiques et stratégiques au service de ses équipes, en organisant le travail de ses collaborateurs et en effectuant un suivi technique des opérations.

Comment développer les compétences d’un bon responsable webmarketing ?

Considérant ses activités techniques de haut vol, le responsable webmarketing doit bénéficier d’un apprentissage de pointe dans les secteurs du marketing digital, du web et de l’économie numérique. C’est pour ces raisons que les professionnels en fonction ont généralement suivi une formation premium dans un établissement spécialisé dès l’obtention de leur baccalauréat.

Décrocher un poste de responsable webmarketing en entreprise ou en agence requiert aussi, et surtout, de faire preuve d’une solide expérience professionnelle sur le terrain. Les missions, complexes et techniques, de ce chef d’équipe, ne peuvent en effet être menées à bien qu’après quelques années d’exercice. Les étudiants désireux de devenir  responsable webmarketing le savent et privilégient à ce titre des formations bénéficiant de la modalité de l’apprentissage en alternance. C’est cette formule de cours qu’offre PPA Digital en privilégiant une pédagogie de projet, axée sur la mise en pratique et le développement de compétences opérationnelles.

Le responsable webmarketing peut donc exercer au sein du service du marketing digital d’une structure professionnelle ou travaille dans une agence de référencement. Au sein de ces structures spécialisées, les postes de responsable webmarketing se développent considérablement, afin de répondre à un besoin pressant et colossal des professionnels du secteur.

La Minute Geek c’est le moment où l’on te décrypte l’actualité mensuelle du digital sous toutes ses formes. On y parle NFT, cryptomonnaies, réseaux sociaux, start-ups… Tu es prêt ? Voici la deuxième édition du mois de juin.

–        Netflix perd 200 000 abonnés dans le monde et la croissance de ses revenus ralentit au premier trimestre 2022.

–        Google est en train de déployer un outil pour vous permettre de migrer vos objectifs existants d’Universal Analytics 3 vers Google Analytics 4.

–        Shopify lorgne la start-up Deliverr pour se renforcer dans les solutions de livraison.

–        Juni, une néobanque pour les e-commerçants se lance en France.

–        Avec 5,6 milliards d’euros réalisés en 2021, le marché du jeu vidéo en France signe un nouveau record historique.

–        L’enseigne Le Printemps fait gagner des NFT pour l’ouverture de son magasin virtuel.

–        Choco lève 102 millions d’euros pour faciliter les commandes entre restaurateurs et fournisseurs.

–        Meta lance des outils pour aider les PME sur Whatsapp Business, Instagram & Messenger.

–        TikTok lance Pulse : un programme pour rémunérer les créateurs.

–        Twitter va lancer une fonctionnalité similaire à l’option « Amis proches » d’Instagram.

–        Whatsapp déploie les réactions émojis.

–        Le port USB-C devrait bientôt être imposé en Europe.

–        Auchan traque par logiciel le gaspillage alimentaire sur les produits proches de la date de péremption.

–        Starbucks Coffee vise une entrée dans le secteur des NFT.

–        Netflix va lancer un nouvel abonnement moins cher mais avec de la publicité.

–        Google Maps va vous faire découvrir des villes en 3D avec un réalisme inégalé grâce à l’intelligence artificielle.

–        Google Chrome va bousculer les banques avec son générateur de cartes bancaires virtuelles.

–        Google va adapter son moteur de recherche à la couleur de peau des internautes.

–        Instagram commence à cacher les stories des utilisateurs qui publient beaucoup.

–        WhatsApp devrait bientôt permettre de quitter les groupes en toute discrétion.

–        Un nouvel émoji pour réagir aux posts devrait faire son apparition sur Linkedin.

–        Microsoft dévoile la nouvelle version d’Outlook.

–        TikTok lance de nouveaux outils pour créditer les créateurs et valoriser leur contenu.

–        MasterCard teste un système de paiement par reconnaissance faciale.

Construit sur la contraction des mots hack (qui se réfère à la création d’un programme malin) et marathon, qui laisse entendre que l’événement sera épique, un hackathon est une compétition de programmation. Il s’agit d’une manifestation qui regroupe des développeurs qui travaillent en collaboration sur un projet dans un temps donné. Véritable compétition, comment bien se préparer pour réussir son hackathon ?

Hackathon: la nouvelle génération des défis digitaux

Compétition emblématique des ingénieurs de haut niveau en programmation, un  hackathon peut être l’occasion de se perfectionner, de se faire repérer, de rencontrer des collaborateurs et même de s’amuser.

Composé des mots « hack » et « marathon », le hackathon peut regrouper des développeurs comme des designers digitaux ou des chefs de projet dans le numérique. Le but est de boucler un projet informatique très technique dans une période limitée. Plus les délais sont courts, plus la compétition a du piment : les organisateurs demandent donc généralement de terminer un hackathon en une nuit ou un week-end.

Parfois, ces manifestations peuvent déboucher sur un gain substantiel d’argent, la promotion d’une start-up, des accords avec des partenaires ou des rencontres avec de grands fonds d’investissement.

Hackathon : bien se préparer

Quelles que soient les raisons qui poussent un développeur à s’inscrire et à participer à un  hackathon, c’est une compétition de haut niveau qu’il est conseillé d’aborder avec une bonne préparation.

Sur de longs mois, les hackers se préparent, en commençant par choisir la bonne manifestation. Thème de prédilection, entreprise organisatrice, moment de l’année, les critères de choix de son hackathon sont personnels, mais il est important d’y prêter une attention spécifique. En effet, c’est en sachant à quel type d’événement on participe que l’on peut mettre sur pied la bonne équipe d’athlètes.

C’est un second point dans la méthode de préparation d’un hackathon réussi : constituer une équipe bien en amont de la manifestation. En apprenant à travailler ensemble, en se connaissant, les membres d’un groupe de hackers sont plus performants et ont plus de chances de gagner la compétition. Attention à bien réfléchir à la constitution de son équipe, généralement, il faut : un designer, un chef de projet et un ou deux développeurs.

Après s’être bien imprégné du brief du hackathon, l’équipe peut initier à dresser ses objectifs en cherchant des propositions innovantes et actuelles aux défis de la manifestation : objets connectés, nouveaux terminaux de paiement, interfaces digitales optimisées, etc. Attention au hors sujet, qui ne sont pas appréciés des jurées et ont valu à de nombreuses équipes d’être éliminées de la compétition.

Afin de se préparer à un hackathon, il est aussi préconisé de prendre conseil auprès des professionnels du secteur. Dans le domaine informatique et digital, les experts font parfois office de véritables mentors, qui savent conseiller judicieusement et qui apprécient de faire part de leur expérience.

C’est cette culture de la collaboration et de la formation par la pratique que cultive PPA Digital. L’établissement dispense des formations online de très haut niveau académique et technique, tout en soignant la participation active de ses étudiants à des projets pratiques.  Alternance et hackathon ponctuent les années scolaires. Les participants peuvent compter sur la disponibilité des équipes enseignantes, composées de professionnels du secteur, afin d’obtenir de précieux conseils pour réussir leur hackathon.

Participer à un hackathon peut être un tremplin à de nombreuses opportunités professionnelles.