Le marketing digital, c’est un regroupement de diverses techniques qui permettent de développer son taux d’audience en ligne et par là même d’accroître considérablement ses ventes. Méthode révolutionnaire et parfaitement adaptée au web d’aujourd’hui, en quoi consiste la discipline et comment s’y former ?

Principes de base du marketing digital

Techniquement, le marketing digital est une discipline qui a recours aux canaux numériques et digitaux afin de diffuser les campagnes de promotion d’un produit et/ou d’une marque. Pour y parvenir, le marketing digital utilise à la fois des méthodes du marketing classique et des procédés révolutionnaires, adaptés au digital contemporain. L’objectif est d’augmenter les visites sur une plateforme web, de développer la visibilité d’une marque ou encore d’accroître les ventes d’un produit.

Les méthodes de la discipline sont donc adaptées au canal de diffusion prédominant : Internet. L’ajustement des techniques traditionnelles du marketing au digital influe considérablement sur le format du contenu proposé par les professionnels : vidéos, textes, posts sur les réseaux sociaux, sites Internet, etc. Les initiatives comme l’affiliation à une newsletter, les stratégies de SMO ou encore la publicité en display (l’achat d’espaces-bannières sur les sites à forte audience) sont des opérations du marketing digital.

Marketing digital : des exemples pratiques

Le marketing digital est prédominant dans la sphère du web. De nombreuses opérations quotidiennes sont le fruit des stratégies de marketing digital des équipes de communication des entreprises.

Un exemple de mise en pratique, c’est le marketing d’influence. Très en vogue et puissant outil de promotion, cette branche du marketing digital a recours à l’intervention des personnalités du web afin de mettre en valeur un produit, promouvoir un événement ou contribuer à la construction d’une bonne image de marque. Pour aller plus loin, les concours en ligne susceptibles d’augmenter la visibilité et la sphère d’influence d’une entreprise sont des opérations qui s’intègrent à des campagnes de marketing digital de grande ampleur.

Le marketing digital : un secteur à succès ?

Ainsi, le marketing digital bénéficie d’un fort taux de réussite, car il propose du contenu très personnalisé, en phase avec les attentes des consommateurs d’aujourd’hui. La grande nouveauté du marketing digital, c’est ça : fidéliser les clients et mettre en place une relation constante avec lui.

Devenu incontournable pour une entreprise qui souhaite développer son activité ou rester compétitive dans son secteur, ce sont des techniques qui doivent être intégrées aux processus de travail des structures professionnelles (PME comme multinationales).

C’est pour cette raison qu’il faut se former aux leviers et aux méthodes de la discipline, idéalement en suivant un PGE au sein d’un établissement spécialisé dans le digital. PPA Digital propose à ce titre un Bachelor et un Mastère Marketing Digital et E-business qui bénéficient d’un excellent taux d’insertion professionnelle.

Se former au marketing digital pour faire carrière dans le secteur est un choix judicieux : le domaine est en pleine expansion et les professionnels formés à la discipline activement recherchés par les recruteurs du secteur.

Le boom du business en ligne touche tous les secteurs d’activité possible : agro-alimentaire, vente, service, conseil, coaching, etc. Il n’a jamais semblé si aisé de faire du business en ligne. Or, c’est un secteur qui répond en réalité à des codes et des dynamiques spécifiques. Quels sont les différents business en ligne qui existent et comment se lancer à son tour ?

Typologie non-exhaustive des différents types de business en ligne

Quotidiennement, de nouveaux types de business en ligne émergent. Néanmoins, il est possible de donner quelques exemples non-limitatifs des catégories qui marchent le mieux :

–  La vente de vêtements. Selon la FEVAD (la Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance), 54 % des internautes de France ont acheté une pièce de mode en ligne en 2021.

– Le dropshipping, qui consiste en une manière plus fluide de gérer les stocks, en mettant en contact un client et un distributeur.

– L’investissement sur les marchés boursiers. Le trading en ligne est une activité à haut risque, cependant de nombreuses plateformes d’investissement ouvrent aux particuliers désireux de se lancer dans l’aventure.

– Le blogging. En matière de e-business et de marketing digital, le blog est un outil de monétisation qui peut générer de hauts revenus.

– Le marketing affilié. Avec ce e-business, les professionnels gagnent une commission à chaque vente de produit ou de service passée via un réseau social, un podcast ou un blog.

– L’assistance virtuelle. Proposer un service d’assistance virtuelle est la prochaine niche du e-business en développement. Le nombre d’entrepreneurs est en hausse croissante, et l’assistant virtuel se positionne comme une aide précieuse pour augmenter sa force d’entreprenariat.

Comment connaître tous les différents types de business en ligne ?

Les experts du e-business qui exercent effectuent au quotidien une veille de leur secteur. Ils sont à l’affût des nouvelles tendances et des mouvements sur le net qui leur indiquent les prochains e-business qui vont émerger. Pour tout connaître des différents types de business en ligne, anticiper leurs leviers de développement ou comprendre les contraintes qui pèsent sur chaque secteur, il faut se former au plus haut niveau.

Il est donc vivement conseillé de suivre un cursus au sein d’un établissement d’enseignement spécialisé en marketing digital et e-business. Dans ce type d’écoles, il est possible d’accéder à une offre de formation complète, actualisée et de très haut niveau académique et technique. C’est le cas au sein de l’établissement PPA Digital, qui propose à la fois un Bachelor, un Mastère et des MBA spécialisés en marketing digital et e-business.

Pour réussir dans les différents business qui existent en ligne, il est important de cumuler de l’expérience professionnelle et donc de privilégier une formation en alternance.

 Le MBA (Master of Business Administration) est un titre universitaire qui sanctionne deux années de spécialisation. Accessible aux titulaires d’un bac +3 ou 4, c’est une formation qui suit une pédagogie spécifique, très axée sur l’acquisition de compétences opérationnelles. À ce titre, l’alternance est une modalité d’apprentissage propice au diplôme de MBA : quels en sont les avantages ?

Faire un MBA en alternance : obtenir un apport financier

La modalité de l’apprentissage en alternance, en plus de bénéficier de l’adhésion et de l’intérêt des professionnels du recrutement, est une excellente manière d’obtenir une aide financière dans la poursuite de ses études.

En effet, les alternants peuvent faire financer toute ou partie de leur formation par l’organisme d’accueil. C’est une très bonne solution pour accéder aux établissements d’enseignement spécialisés de haut niveau, qui peuvent parfois avoir des frais de scolarité élevés.

Les étudiants d’un MBA en alternance gagnent aussi un salaire leur permettant généralement de ne pas avoir besoin de travailler en parallèle de leur formation. Ils sont ainsi en mesure de se dédier pleinement à leur apprentissage technique universitaire.

MBA en alternance : une formule avantageuse

L’alternance est une modalité d’apprentissage particulièrement adaptée à l’acquisition des compétences techniques visées par un cycle de MBA. En effet, ces cursus ont hérité d’une pédagogie anglo-saxonne, orientée vers la collaboration des étudiants et la participation à des projets pratiques. Cette spécificité fait du MBA le titre d’études internationales le plus haut gradé dans le domaine de la gestion d’entreprise.

Traditionnellement, les MBA en alternance sont proposés par des établissements spécialisés dans le business, la gestion ou l’administration. Cependant, ce rythme d’études se développe désormais au sein des écoles spécialistes du digital. Il devient donc possible de suivre un MBA dans le marketing digital ou le e-business qui bénéficie de stages en immersion de niveau professionnel.

Les étudiants d’un MBA qui suivent un stage en alternance sont immergés dans le monde du travail. Ces sessions de stages sont alors propices à développer tout un panel de savoir-faire techniques et de savoir-être professionnels. Ils acquièrent par ce biais une vision réaliste et globale de leur futur métier et se construisent un carnet d’adresses très utile à une bonne insertion sur le marché du travail.

L’alternance : la clé de l’insertion professionnelle après un MBA

L’alternance est un critère de sélection aux yeux des chargés du recrutement. Les étudiants ayant opté pour un MBA qui se déroule selon ce rythme démontrent en effet d’une véritable expérience professionnelle dès l’issue de leurs études. Ils sont ainsi privilégiés par rapport à d’autres candidats, car ils savent déjà prendre en main un très grand nombre de missions opérationnelles.

L’école PPA Digital propose à ce titre un MBA spécialisé en Marketing Digital conçu pour répondre aux besoins des professionnels du secteur. Entre apprentissage en entreprise et travail collaboratif, les étudiants de la formation trouvent rapidement un emploi comme digital marketing officer, responsable e-réputation ou encore trafic manager.

Choisir l’alternance pour son MBA, c’est s’assurer de la qualité des enseignements qu’il comprend tout en bénéficiant d’un apprentissage propice à leur intégration sur le marché du travail.

Les outils de la programmation web permettent aux développeurs de créer un site internet dans son intégralité. Ils couvrent les phases de conception, de développement, de mise en ligne et de la configuration des processus de sécurité. Quels outils utilisent les professionnels afin d’y parvenir ?

En quoi consiste la programmation web ?

La programmation web est un ensemble de techniques et d’outils qui visent à faire fonctionner un site Internet afin de répondre aux attentes et aux besoins de son propriétaire. Les outils que les professionnels utilisent leur permettent de prendre en main le codage et l’écriture du balisage du site.

Le développement web comprend trois grandes facettes :

– La programmation front-end, qui concerne la partie du site que les internautes voient et avec laquelle ils entrent en interaction.

– Le développement back-end, soit le code qui agit en arrière-plan.

– La programmation full-stack, qui s’occupe de toutes les facettes du développement web.

Les outils programmation web : les principaux langages

Pour qu’un site fonctionne bien (qu’il soit fluide à la navigation, intuitif et réactif), les développeurs utilisent divers langages informatiques.

– Le langage de balisage, qui permet de faire s’afficher une page : le HTML ou le CSS. Le langage HTML représente la structure du site où sont hiérarchisées les informations qui vont apparaître à l’écran. C’est un langage qui s’utilise généralement avec le CSS, qui se greffe sur les balises HTML. Ce second outil permet de rendre plus esthétiques les éléments de la structure d’une page web.

– Le Front-end utilise beaucoup l’outil JavaScript, excellent code qui permet de faire interagir l’internaute et la plateforme. Grâce à cet instrument, il est aussi possible d’adapter l’apparence d’un site au comportement des visiteurs.

– En back-end, on utilise régulièrement le PHP. C’est le leader du secteur, avec plus de 80 % des parts de marché. Il fonctionne avec des frameworks divers, comme Symfony ou Codelgniter.

– La gestion de la base de données est possible grâce à l’outil MySQL. Il permet de se constituer une bibliothèque d’information personnalisée. Le développeur peut ensuite y piocher les données qui l’intéressent et les intégrer sur son site web pour obtenir une plateforme plus dynamique.

Afin de tout connaître des outils de la programmation web, savoir les sélectionner et les utiliser à bon escient, il faut avoir suivi une formation dans un établissement spécialisé dans le digital. Les formations online de PPA Digital comprennent à ce titre des éléments d’apprentissage de la programmation web, afin que les futurs experts du marketing digital et e-business acquièrent une vision globale de leur activité professionnelle.

La programmation web est devenue un incontournable de la digitalisation réussie d’une entreprise. Connaître les différents outils qu’elle comprend requiert de suivre une formation spécialisée et d’effectuer une veille constante du secteur.

Au même titre que la révolution industrielle a bouleversé la société civile et le milieu professionnel au XIXE siècle, la transformation digitale redessine les modes de travailler d’aujourd’hui. Zoom sur un processus en cours, sur ses enjeux pour les entreprises et les opportunités professionnelles qu’il revêt.

La transformation digitale : un incontournable pour les professionnels

La transformation digitale, ou transition numérique, est un processus selon lequel les structures professionnelles intègrent les nouvelles technologies dans leurs activités. Cela peut se traduire de diverses manières : utilisation de postes de travail dernière-génération, recours à des applications de bureautique optimisées, industrie 4.0, etc. En pratique, un exemple simple illustre la transformation digitale déjà en cours dans de nombreuses structures : le recours toujours plus croissant aux mails comme outil privilégié de communication interne et externe.

Ainsi, la transformation digitale est un processus incontournable pour une entreprise qui souhaite rester compétitive, quel que soit son marché cible ou sa taille. L’essor des nouvelles technologies offre de nombreux avantages sur le plan économique :

– Elles permettent aux professionnels de connaître parfaitement leurs clients ainsi que leurs prospects.

– Elles offrent aux entreprises des outils pour anticiper les mutations de l’économie, des marchés internationaux, des modes de consommer ainsi que des sociétés civiles.

En réalité, la transition digitale est poussée par les nouveaux modes de consommation des générations X, Y et Z, qui ont grandi avec les technologies numériques. Adeptes de ces nouvelles formes de communication et e-consommateurs aguerris, ces jeunes représentent les futurs clients des entreprises, ainsi que des collaborateurs en devenir.

Transformation digitale et restructuration des processus de travail

Pour beaucoup d’entreprises, suivre la voie de la transformation digitale requiert de restructurer profondément leurs modes de travailler. Divers chantiers sont alors à prendre en considération : modification de la hiérarchie, équipements nouvelles-génération, connectivité optimisée, etc.

Les entreprises doivent alors adopter des processus de travail prenant en considération le Big Data, la gestion des données, mais aussi le marketing numérique, le management et la gestion des ressources humaines. Car, c’est le marketing digital qui se présente comme le pivot d’une transformation numérique réussie. Les méthodes de cette discipline permettent de mettre en place des projets web, de maîtriser les enjeux et les contraintes du digital et de prendre les bonnes initiatives pour choisir les justes stratégies et conduire une transition numérique sereine et efficace.

À ce titre, PPA Digital, la grande école du marketing digital en alternance, forme les professionnels de demain aux enjeux de la transformation digitale d’aujourd’hui. Grâce à ses formations premium qui sont accessibles online et bénéficient de la modalité de l’apprentissage en alternance, les étudiants de l’établissement sont aptes à trouver rapidement un emploi à l’issue de leurs études.

Les sociétés doivent anticiper les enjeux de la transition numérique et faire un nouveau pas vers les technologies sur smartphones. La mobilité est devenue un point central de la transformation digitale d’une entreprise, le télétravail n’en étant que le premier jalon.

Avoir un bon référencement sur Google pour une entreprise, c’est un gage de visibilité et un excellent outil afin de trouver de nouveaux clients. Qui sont les experts du web vers qui se tourner pour améliorer sa stratégie de référencement en ligne ?

Comment fonctionne le référencement Google ?

Le référencement naturel gratuit sur Google, ou SEO, vise à faire apparaître un site internet le plus haut possible dans les résultats du moteur de recherche. Le SEO est généralement à tort confondu avec le SEA, qui est une technique de référencement payant auprès de Google Ads.

Un bon référencement Google mêle donc les techniques de SEO et de SEA. En pratique, lorsqu’un utilisateur utilise certains mots-clés dans la barre de recherche, un algorithme en analyse la composition et propose des sites dont le contenu utilise ces mêmes mots cibles. À ces éléments sémantiques, les robots Google ajoutent un critère qualitatif pour répondre aux besoins des utilisateurs. Afin de déterminer le niveau de qualité du contenu, les robots étudient la vitesse de chargement de la page ciblée par les mots-clés et la présence d’image, de texte ou de vidéos.

Conseils pour améliorer son référencement Google

Ainsi, il est possible de travailler le contenu de son site internet, afin qu’il soit amélioré au regard des critères de sélection de l’algorithme de référencement Google. À titre d’exemple, il est envisageable d’opérer une refonte de sa plateforme web en :

– Améliorant le contenu de ses pages : utiliser des balises Hn en y intégrant des mots-clés sélectionnés par un expert en SEO/SEA.

– Publier régulièrement du nouveau contenu et proposer une interface constamment à jour.

– Vérifier la vitesse de chargement des pages et y apporter des modifications prenant en considération les conseils des experts de l’UX et de l’UI Design.

Obtenir un bon référencement Google : se tourner vers les professionnels

Les experts du marketing digital sont les mieux à même de conseiller les directions des entreprises quant aux stratégies à adopter afin d’améliorer leur référencement Google. Leur connaissance approfondie des leviers et des contraintes du web les rend aptes à développer une stratégie comportant des objectifs sur-mesure pour optimiser la présence en ligne de leurs clients. À titre d’exemple, ils sauront :

– Procéder à un audit du niveau de référencement de la société et y apporter des solutions à court, moyen et long terme.

– Élaborer un plan stratégique de netlinking et le mettre en place au niveau opérationnel.

– Créer une communauté sur les réseaux sociaux, dynamique et fidèle.

– Développer et optimiser le parcours utilisateur d’un site, etc.

Les spécialistes du marketing digital se forment à l’occasion de cursus complets, qui comprennent des apprentissages variés : gestion de projet, développement web ou encore outils de communication digitale.

PPA Digital, la grande école du marketing digital et du e-commerce en alternance a développé des formules de cours de haut niveau académique et technique afin de répondre aux besoins des professionnels du numérique. Dès l’issue de leurs programmes , ses étudiants diplômés sont ainsi en mesure de prendre immédiatement en main des missions opérationnelles et de développer le référencement Google de leurs clients.

Véritable carte de visite et miroir du professionnalisme de la structure, le référencement Google doit être développé par un expert du marketing digital.

Le storytelling est un outil du marketing digital qui permet d’atteindre d’excellents résultats en termes d’audience et d’adhésion du public. Il offre de créer des campagnes promotionnelles créatrices d’émotion pour les clients. En quoi consiste cette technique et comment la maîtriser au niveau professionnel ?

Le storytelling, qu’est-ce que c’est ?

Le storytelling est un outil de marketing et de communication très actuel qui permet d’accroître les ventes d’une entreprise ou d’améliorer une image de marque en racontant une histoire.

Utiliser une structure narrative dans le cadre de ses campagnes promotionnelles décuple l’attention du public et de véhicule un message de manière certaine grâce à l’émotion suscitée par le storytelling.

Ainsi, les méthodes du storytelling peuvent être utilisées de façon constante dans le cadre d’une stratégie générale de communication ou de manière plus ponctuelle, pour mettre en valeur le lancement d’un nouveau produit, par exemple.

Faire un bon storytelling : quelques astuces

Les professionnels de la communication et du marketing suivent certaines étapes clés afin de mettre sur pied un projet de storytelling :

– Ils définissent l’histoire à raconter et présentent les personnages et le décor de leur narration.

– Ils fixent des enjeux stratégiques chiffrés, mis en rapport avec les moyens déployés pour créer la campagne promotionnelle.

– Ils élaborent une structure narrative captivante qui ne comprend pas de fin, pour laisser libre place à l’imagination et à la reprise ultérieure de l’opération de communication.

Ces experts de la narration promotionnelle conçoivent leurs storytellings afin qu’ils s’intègrent parfaitement aux canaux de communication d’aujourd’hui.

Le storytelling : exercice emblématique du marketing digital

Les professionnels les mieux à même de proposer des projets de storytelling qui fonctionnent sont les experts du marketing et de la communication digitale. Cette manière de communiquer répond aux attentes et aux goûts des consommateurs d’aujourd’hui, qui apprécient se sentir concernés par les campagnes de publicité et utilisent massivement les appareils connectés. En positionnant leur storytelling sur le web, les entreprises sont en mesure d’attirer un très grand nombre d’internautes et de les convertir en de véritables clients.

Afin de savoir comment adapter leur proposition de storytelling à leur clientèle et pour l’intégrer sur le bon marché, les experts du marketing digital utilisent les outils du Data Analysing et du développement web. Grâce aux informations ainsi récoltées, ils identifient les problématiques de leur structure et y appliquent des solutions digitales les plus efficaces. En pratique, faire du storytelling, c’est donc mettre en histoire les données de son entreprise.

C’est à l’occasion d’une formation universitaire spécialisée et professionnalisante qu’il est possible d’acquérir toutes les connaissances pour créer des storytellings innovants. PPA Digital propose à ce titre des formations online bénéficiant de l’apprentissage en alternance. Leur contenu offre aux étudiants comme aux professionnels de développer toutes les compétences pratiques en vue d’élaborer de bons storytellings.

Le storytelling est un outil du marketing et de la communication digitale que les entreprises doivent impérativement utiliser.

La communication d’une entreprise doit allier supports physiques et recours au digital afin de proposer un message cohérent et facilement accessible. Comment faire pour développer une stratégie et des plans d’action qui s’inscrivent véritablement dans les dynamiques d’une communication de marque actuelle ?

Élaborer une stratégie de communication d’une marque : cinq étapes incontournables

Les professionnels chargés de la communication d’une marque suivent une méthode technique composée de plusieurs étapes. Si elle varie d’un expert à l’autre en fonction de sa structure et de ses objectifs, il est possible d’en dégager cinq étapes principales :

1- Définir les buts de sa communication.

2 – Identifier son public cible et trouver un positionnement sur un marché spécifique.

3 – Définir le ton et le style de son message.

4 – Établir un budget en lien avec des moyens de communication déterminés.

5 – Mettre sur pied un plan de communication.

Ces techniques traditionnelles de la communication d’une marque doivent être revues à la lumière des récentes évolutions du numérique et de l’intégration du digital dans les processus de travail.

Communication d’une marque : miser sur le marketing digital

Pour proposer une communication de marque qui fonctionne, les entreprises ne peuvent plus passer à côté du digital. Pour y parvenir, les directions générales et les ressources humaines des sociétés (PME comme multinationales) mettent sur pied des services digitaux qui regroupent des experts en marketing digital et e-business.

Ces techniciens experts connaissent tout de la communication digitale, de l’utilisation de la smart data, de la gestion de projet web ou encore des canaux numériques de diffusion. Leurs équipes sont composées de responsables de stratégie mobile, de trafic managers, de e-commerce managers ou encore de digital marketing officier. Tous œuvrent afin de mettre sur pied un plan de communication de marque cohérent et efficace.

À titre d’exemple, ils peuvent proposer des opérations de communication utilisant les nouveaux outils digitaux, comme :

– La création d’un showroom virtuel. Ces boutiques de e-commerce présentent l’avantage de proposer à la vente les produits de l’entreprise 7/7 jours et 24h/24 et de mettre en lumière les éléments de sa communication de marque sans interruption.

– L’utilisation des nouvelles technologies avec la création de plateformes digitales utilisant la technologie 3D, le recours aux applications mobiles de réalité augmentée ou la modélisation des produits, etc.

Comment se former pour proposer une communication de marque digitale ?

Les professionnels de la communication d’une marque sont formés aux dynamiques, aux leviers et aux contraintes du digital. Pour proposer des projets qui bénéficient de l’intérêt des consommateurs, ils connaissent tout du web et des nouvelles technologies.

Ces experts ont donc suivi une formation spécialisée en marketing digital et e-commerce. Ces cursus comportent en effet tous les enseignements permettant l’utilisation du numérique dans les stratégies de communication d’une entreprise. Au sein d’un bon établissement spécialisé, les étudiants peuvent suivre des parcours d’apprentissage selon la modalité de l’alternance et se former au contact des professionnels du secteur.

PPA Digital propose à ce titre des formations premium qui répondent aux besoins de recrutement des entreprises d’aujourd’hui. Les participants à ses cursus online bénéficient d’un rythme en alternance qui leur permet de s’immerger dans le monde du travail et d’obtenir une vision globale de leurs futures missions.

Développer des plans de communication de marque ne peut se faire sans le recours aux technologies numériques et digitales. Il faut donc en confier l’élaboration et l’exécution aux experts du marketing digital.

Le traffic manager a un rôle essentiel dans l’élaboration et la mise en place des stratégies promotionnelles en ligne de son entreprise. Il gère les flux des internautes sur les divers produits digitaux de sa structure, les étudie et détermine les moyens à mettre en œuvre pour accroître cette audience. En quoi consistent précisément ses missions et comment se former afin de prendre en charge son rôle central au développement d’une entreprise ?

Le rôle du traffic manager : au cœur des évolutions du digital

Le traffic manager est un spécialiste du digital dont les compétences le placent au coeur des nouvelles problématiques du commerce en ligne. C’est lui qui organise et administre les campagnes publicitaires du site internet de son entreprise. Ces publicités constituent généralement une grande source de revenus pour une plateforme en ligne.

Il utilise alors plusieurs outils : des bannières, des skyscapers ou des pop-ups. Pour déterminer quels instruments sont les plus appropriés pour lui permettre d’atteindre ses objectifs, il se base sur les retours des utilisateurs de la plateforme. Il connaît ainsi très bien les méthodes de l’UX Design ou de l’ergonomie des produits digitaux. Il sait donc proposer à la direction de son entreprise des idées originales, innovantes et efficaces afin de développer l’aspect esthétique et la fonctionnalité du site internet dont il a la charge.

Son rôle principal consiste à étudier l’audience et la fréquentation des sites internet. Il désigne à ce titre des cibles commerciales et propose des produits digitaux adaptés à ce public. Il élabore des contenus en ligne originaux et impactants, qui permettent de développer le trafic autour des plateformes digitales dont il s’occupe.

Le traffic manager : un expert du e-business

Le traffic manager est un cadre supérieur expert des dynamiques, des leviers et des contraintes du digital. C’est donc un professionnel vivement recherché par les recruteurs des entreprises (PME comme multinationales) pour prendre en charge les stratégies d’accroissement de leur visibilité et de leurs activités en ligne. À ce titre, le trafic manager junior peut obtenir une rémunération proche de 3300 euros bruts par mois. Un responsable d’équipe peut, après quelques années d’expérience, se voir offrir une rétribution aux alentours de 55 K€ annuels.

Il exerce généralement au sein d’agences de webmarketing ou de communication digitale. Il lui est aussi possible de travailler dans un service digital au sein d’une grande entreprise ou d’une PME. Dans le cadre d’une structure de plus petite taille, il peut être amené à exercer divers rôles, comme éditorialiste web ou encore community manager. Dans une entreprise plus grande, il est possible qu’il prenne en main l’encadrement d’une équipe.

Pour devenir traffic manager, il faut donc bénéficier d’un solide socle de compétences techniques : connaissance experte des dynamiques du web, maîtrise des langages informatiques, utilisation des outils et des logiciels de tracking et de retargetting, etc. Ce professionnel soit aussi tout comprendre des stratégies du marketing digital et du e-business afin de proposer des orientations propres au développement du référencement de ses sites. Ces éléments de compétences sont proposés au sein des programmes premium des formations de PPA Digital. L’école offre des cursus d’exception bénéficiant de la modalité de l’apprentissage en alternance.

Les rôles complexes du traffic manager requièrent que cet expert du e-business se forme au plus haut niveau au sein d’un établissement spécialisé dans le marketing digital et le e-business.

L’univers du digital est en constante évolution, il est important pour nos étudiants de rester en veille active sur le secteur & ses tendances. Samuel Westberg, CEO LaSource, revient pour nous sur les métiers du digital, les NFT, le Web 3.0 et donne ses conseils aux étudiants pour réussir dans le secteur.

• Bonjour Samuel, merci de répondre à nos questions, peux-tu te présenter en quelques mots pour nos étudiants ?

Bonjour à tous, je suis Samuel, passionné de sport et d’entreprenariat. Après un stage de fin d’étude au Paris FC, j’ai commencé mon aventure dans le milieu des startups. Un peu plus de 10 ans plus tard, j’ai créé mon agence LaSource avec mes deux co-fondateurs David Gonçalves et Jean-Baptiste Alliot. Nous sommes spécialisés dans l’accélération des startups sur le marché Européen. A date, nous avons trois startups : LiveLike dont je suis également cofondateur, Greenfly et Slate.

• Quel regard portes-tu aujourd’hui sur les métiers du digital ?

Il y a une super diversité de rôles dans le digital qui laisse la place à beaucoup de types de profils. Je ne connaissais pas ces rôles à mon époque étudiante mais que ça soit sur de la partie développement, produit, projet, customer, vente, recrutement etc… Il y a une énorme variété de besoins et compétences pour conduire une stratégie digitale côté organisationnel ou de l’autre côté qui est celui que je connais le mieux, celui des startups. En tout cas c’est un milieu passionnant et au vue de l’augmentation permanente du temps passé sur les écrans par les nouvelles générations, c’est un environnement qui va continuer de croître!

• On parle beaucoup aujourd’hui de Web 3.0, si tu devais donner une définition simple de ce phénomène ? 

C’est très compliqué de donner une définition simple… mais pour résumer en des mots simples, je dirai que c’est la création d’une économie alternative digitale décentralisée.

• NFT : penses-tu que l’on entre actuellement dans une nouvelle ère ?

Je ne sais pas si on peut appeler ça une nouvelle ère. Je viens de la VR et je suis très au fait de ces tendances qui sont marketées pour pousser la croissance d’une industrie en ne mesurant pas toute la longueur du chemin à parcourir et certaines potentielles failles. Je pense que les NFT, les Fungible Tokens etc… ont un énorme potentiel et vont indéniablement être une nouvelle opportunité de croissance pour beaucoup d’organisations. Par contre, au delà du potentiel de la technologie, il va falloir du temps, beaucoup d’erreurs, de bonnes stratégies et l’acceptation généralisée des utilisateurs avant d’en faire une tendance mainstream. Internet a mis du temps, le web 3.0 va en mettre également, et je pense que plus qu’une révolution, ça va être une corde supplémentaire à exploiter digitalement.

• Quelles sont selon toi les qualités requises pour travailler dans le monde du digital ?

Je pense que la compréhension de ce que l’audience consomme est importante. Et pour les générations d’étudiants, réfléchir à quelles sont leurs propres consommations et celles de leur entourage. Pas se dire je consomme Instagram mais réfléchir à ce qui fait que je reviens toujours à Instagram : le format des vidéos, les notifications, la peur de rater quelque chose, etc… Je recommande d’ailleurs le film « Derrière nos écrans de fumée » qui explique très bien comment les réseaux sociaux ont travaillé l’emprise qu’ils ont désormais sur une grande partie de la société. Au-delà du jugement de valeur, la méthodologie est super intéressante.

Et ensuite, je dirai que la volonté d’améliorer et augmenter les possibilités autour de nous est essentiel. Que ça soit pour faciliter une inscription pour une Fédération sportive d’une part pour l’utilisateur lambda ou s’assurer de la pérennité d’une audience pour une Ligue ou un club sportif, les sujets sont vastes et infinis grâce au digital !

• Quel(s) conseils donnerais-tu aux étudiants qui souhaitent réussir dans le domaine du digital ?

Quand j’étais étudiant, je rêvais de travailler pour une grosse organisation dans le domaine du sport. Mais pour apprendre et comprendre le digital, je suggérerai de réfléchir à l’opportunité de se positionner côté startup ou petite structure pour apprendre énormément dans ses premières années professionnelles. Et naturellement, réussir dans le domaine du digital nécessite beaucoup de travail car c’est un milieu très concurrentiel et très prisé.

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